La Guyane, c'est où?

 

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Les Bagnes 

Bagne des Annamites

Ainsi nommé parce qu'il
"accueillait" surtout les
"dissidents" ou prisonniers des guerres d'Indochine, c'est-à-dire
des Vietnamiens, des
Laotiens et des
Cambodgiens.


Affiche de l'expo sur Belbenoît au Musée des Cultures Guyanaises - Mai 2004
Les aventures de René Belbenoît furent plagiées par un autre détenu au surnom devenu célèbre: Papillon.
Grâce à Hollywood et Steve McQueen, les fausses mémoires de Papillon continuent à se vendre alors que les récits authentiques de Belbenoît menacent de sombrer dans l'oubli.

Les femmes au Bagne

Elles étaient le plus souvent femmes de fonctionnaires mais aussi de bagnard;
certaines étaient bonnes soeurs, d'autres bagnardes.
Discrètes mais héroïques. elles ont marqué l'histoire du bagne de quelques larmes de douceur et lui ont donné un soupçon d'humanité.


L'infâmant et douloureux marquage au fer rouge des femmes de "mauvaise vie"


Marie Bartete, ou le tragique destin d'une malchanceuse

Vous voulez en savoir plus?

Ci-dessus et dessous:
deux livres captivants et complémentaires sur les petites et grandes histoires des bagnes de Guyane

Les bagnes guyanais ont été créés pour remplacer les bagnes portuaires métropolitains, ayant eux-mêmes en leur temps remplaçés les galères, bateaux de guerre menés par ...des galériens, bien sur.

Le terme "bagnard" disparait officiellement après Napoléon III
pour être remplaçé par celui de "transporté".

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Iles du Salut

Pour ceux dont on voulait être sur qu'ils ne s'échappent pas.


Le cimetière des enfants

La première étape des bagnards en Guyane

Ci-dessous: Ethymologie du terme "bagne" (extrait de l'expo du Camp de St Laurent)

Ci-dessous: des briques portant le sceau de l'Administration Pénitentiaire (AP)
et recyclées en bas de porte

Ci-dessous: la réhabilitation du Capitaine Alfred Dreyfus, entouré du Général Gillain et du Commandant Targe.
Dreyfus fut gracié en 1899 et réhabilité en 1906.

Ci-dessous: les condamnations à mort, peu nombreuses, avaient lieu en public.
La "guillotine séche" (la mort par maladie), elle, fonctionnait sans discontinuer.

Ci-dessous: l'Administration Pénitenciaire qui n'était pas à une horreur près conservait les têtes des guillotinés dans du formol.

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